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Auteur Jean Vallade |
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trié(s) par (Pertinence décroissant(e), Titre croissant(e)) Affiner la rechercheUne brève histoire de la lichénologie / Jean Vallade in Bulletin d'informations de l'Association française de lichénologie, vol. 43, fasc. 1 (Année 2018)
Titre : Une brève histoire de la lichénologie Type de document : texte imprimé Auteurs : Jean Vallade, Auteur Année de publication : 2018 Article en page(s) : pp. 49-70 Langues : Français (fre) Catégories : [ZG] BRETAGNE (53)
[ZG] Europe
[ZG] France
[Thèmes] Histoire de la botanique
[Thèmes] Lichénologie
[Thèmes] LichensRésumé : "Nous avons arbitrairement scindé l'histoire de l'étude des lichens en six périodes. La première période, qui va de l'Antiquité à la fin du XVIIIe siècle, ne peut être considérée que comme une introduction à la lichénologie qui ne commence réellement qu'avec les travaux d'Acharius au tout début du XIXe siècle. Dans la seconde moitié du XIXe siècle, l'utilisation des données microscopiques conduit à une meilleure connaissance de l'organisation des lichens en même temps que l'inventaire des espèces s'accroît considérablement. La véritable nature duale des lichens n'est démontrée qu'en 1867 par Schwendener. Les progrès des techniques d'observation et d'analyse chimique permettent-pendant toute la durée du XXe siècle d'asseoir la taxonomie sur des bases solides. Le concept de symbiose se précise et le monde des lichens en représente une forme particulièrement remarquable. Avec la fin du XXe siècle et le début du XXIe, le développement de l'outil informatique, l'utilisation des techniques de la biologie moléculaire et l'amélioration des techniques de visualisation microscopique (microscopie confocale à fluorescence) permettent une meilleure connaissance des différents partenaires de la symbiose lichénique jusque-là négligés ou inconnus (communautés bactériennes associées aux lichens et présence chez certains lichens d'un second champignon). Enfin, l'introduction de la méthode cladistique a considérablement renouvelé l'approche systématique et la classification des champignons et parmi eux des lichens." (source : auteur) Note de contenu : Noms de principaux botanistes cités dans l'article : Théophraste, John Gérard, Joseph Pitton de Tournefort, Antonio Micheli, Jakob Dillenius, Carl Linné, Lamarck, Erik Acharius, Augustin-Pyramus de Candolle, Antoine Laurent Apollinaire Fée, Karl Friedrich Wilheim Wallroth, Elias Magnus Fries, Heinrich Gustav Flörke, Ludwig Emanuel Schaerer, Guisepe De Notaris, Abramo Bartolommeo Massalongo, Johan Müller, Jean-Baptiste Payer, Wilheim Nylander, Louis-René Tulasne, Heinrich Anton de Bary, Simon Schwendener, Camille Flagey, Albert-Bernhardt Frank, Jean-Baptiste Edouard Bornet, Christian Ernst Stahl, Gaston Bonnier, Béatrix Potter, Léo Errera, Ferdinand Moreau, Claude Moreau, Auguste Marie Hue, Jule Harmand, Alexander Zahlbruckner, Léon Vouaux, André de Crozals, Maurice Bouly de Lesdain, Henri des Abbayes, Georges Clauzade, Claude Roux, Paul Ozenda, Chantal Van Haluwyn, M.-A. Letrouit-Galinou, Jacques Lambinon J.-P. Gavériaux, Willi Hennig, Paul Diederich .... Type de publication : périodique Référence biblio : Vallade J., 2018 - Une brève histoire de la lichénologie. Bulletin d'informations de l'Association française de lichénologie, 43 (1) : 49-70. Permalink : http://www.cbnbrest.fr/catalogue_en_ligne/index.php?lvl=notice_display&id=68186
in Bulletin d'informations de l'Association française de lichénologie > vol. 43, fasc. 1 (Année 2018) . - pp. 49-70[article]Exemplaires(1)
Cote Localisation Disponibilité P0232 Brest Exclu du prêt
Titre : Clé de détermination des espèces du genre Scytinium (Collemataceae) Type de document : texte imprimé Auteurs : Jean Vallade, Auteur Année de publication : 2019 Article en page(s) : pp. 137-184 Langues : Français (fre) Mots-clés : clé de détermination scytinium Collemataceae Résumé : "L'étude phylogénétique réalisée par Otalora, J0rgensen et Wedin (2013) montre que les deux genres Collema et Leptogium, qui constituaient classiquement l'essentiel de la famille des Collemataceae, ne sont pas monophylétiques. Sur la base des analyses phylogénétiques effectuées et « dans le but de réconcilier morphologie et données moléculaires », les auteurs proposent une nouvelle classification et distinguent dans la famille des Collemataceae les dix genres suivants: Blennothallia, Callome, Collema, Enchylium, Lathagrium, Leptogium, Paracollema, Pseudoleptogium, Rostania et Scytinium. Pour ce dernier genre, les auteurs indiquent 45 espèces et proposent de nombreuses nouvelles combinaisons (mais n'évoquent pas celle de Scytinium pulvinatum qui sera publiée ultérieurement: Otâlora et Wedin, 2014)." (source : auteur) Type de publication : périodique Référence biblio : Vallade J., 2019 - Clé de détermination des espèces du genre Scytinium (Collemataceae). Bulletin d'informations de l'Association française de lichénologie, 44 (2) : 137-184. ID PMB : 69748 Permalink : http://www.cbnbrest.fr/catalogue_en_ligne/index.php?lvl=notice_display&id=69748
in Bulletin d'informations de l'Association française de lichénologie > vol. 44, fasc. 2 (Année 2019) . - pp. 137-184[article]Exemplaires(1)
Cote Localisation Disponibilité P0232 Brest Exclu du prêt
Titre : Clin d'oeil à François Bugnon (1925-1998) Type de document : texte imprimé Auteurs : Jean Vallade, Auteur Année de publication : 2018 Article en page(s) : p. 66 Langues : Français (fre) Catégories : [Thèmes] Botaniste
[Thèmes] Histoire de la botanique
[ZG] BOURGOGNE - FRANCHE-COMTE
[Sites] ENS 22 - La roche aux oiseaux (Ploubazlanec)Résumé : "Décédé le 15 novembre 1998, il y a tout juste vingt ans, François BUGNON est toujours présent parmi les botanistes et les mycologues bourguignons tellement sa production scientifique a été importante et reste toujours d'actualité. Sur le plan régional, sa « Nouvelle Flore de Bourgogne », par exemple, reste un outil indispensable pour tout botaniste de terrain qui parcourt la campagne bourguignonne. La vie et l'Å“uvre de ce botaniste ont été évoquées ans un numéro de cette revue 1 et dans les revues de la Société botanique de France. Grand scientifique et excellent pédagogue, François BUGNON savait aussi manier l'humour comme dans cette petite histoire à la fois drôle et grinçante..." (source : auteur) Type de publication : périodique Référence biblio : Vallade J., 2018 - Clin d'oeil à François Bugnon (1925-1998). Bourgogne-Franche-Comté nature, 27 : 66. Permalink : http://www.cbnbrest.fr/catalogue_en_ligne/index.php?lvl=notice_display&id=68113
in Bourgogne-Franche-Comté nature > n°27 (Année 2018) . - p. 66[article]Exemplaires(1)
Cote Localisation Disponibilité P0187-1 Brest Exclu du prêt
Titre : De l’embryon à la racine des Angiospermes : approche ontophylogénétique Type de document : texte imprimé Auteurs : Maryse Charbonnier, Auteur ; Jean Vallade, Auteur Année de publication : 2011 Article en page(s) : pp. 3-26 Langues : Français (fre) Catégories : [Thèmes] Biologie végétale Mots-clés : angiosperme embryon leptembryé ontogenèse pachyembryé phylogénie pôle radiculaire Résumé : "L’étude du développement embryonnaire des Angiospermes montre l’existence de deux modalités principales de segmentation : l’une, irrégulière, conduit à la constitution d’embryons volumineux (« pachyembryons »), l’autre, régulière, conduit à la réalisation d’embryons de taille réduite (« leptembryons ») chez lesquels il est possible d’établir un lignage cellulaire et ainsi de repérer individuellement chaque cellule embryonnaire. Le mode leptembryé dérive vraisemblablement de formes pachyembryées primitives. Le suivi de la proembryogenèse chez les espèces leptembryées permet de montrer l’existence de trois modalités principales de mise en place du pôle radiculaire primordial chez les Eudicots (Arabidopsis, Petunia, Sagina), toutes aboutissant à une disposition unique des cinq types cellulaires constitutifs du futur méristème racinaire. Ces cinq types cellulaires se retrouvent chez les espèces leptembryées de Monocots chez lesquelles ils présentent également une disposition unique mais différente de celle décrite chez les Eudicots. Deux « plans d’organisation » du pôle radiculaire primordial sont ainsi mis en évidence : l’un propre aux Eudicots correspond au futur modèle racinaire «climacorhize », l’autre, caractéristique des Monocots, correspond au futur modèle racinaire « liorhize ». Les variations de la segmentation proembryonnaire observées à l’intérieur de ces deux groupes restent subordonnées à l’existence de ces « plans d’organisation » qui imposent leurs contraintes ontophylogénétiques. L’hypothèse explicative proposée concernant ces variations secondaires privilégie le jeu de variations aléatoires dont certaines ont été sélectionnées et fixées au moment de la diversification des taxons sans qu’on puisse établir de relation entre ces « choix » évolutifs et la phylogenèse."(source : auteurs) Type de publication : périodique Référence biblio : Charbonnier M., Vallade J., 2011 - De l’embryon à la racine des Angiospermes : approche ontophylogénétique. Le journal de botanique, 54 : 3-26. ID PMB : 51131 Permalink : http://www.cbnbrest.fr/catalogue_en_ligne/index.php?lvl=notice_display&id=51131
in Le journal de botanique > n°54 (Année 2011) . - pp. 3-26[article]Exemplaires(1)
Cote Localisation Disponibilité P0177-5 Brest Exclu du prêt
