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Vendredi 7 et samedi 8 juin 2019 à Nantes, le Conservatoire botanique national de Brest, Bretagne vivante et leurs partenaires organisent le colloque international "La cartographie de la flore, un outil au service des politiques publiques de la biodiversité" en hommage au professeur Pierre Dupont. Ce colloque met en avant les relations entre les travaux scientifiques actuels sur la biodiversité végétale, dont la cartographie floristique, et les politiques publiques de la préservation de la nature. Au programme, déjà 15 communications orales en amphithéâtre et 2 sites naturels à visiter. Les inscriptions sont ouvertes jusqu'au 26 mai mais attention : seulement 150 places disponibles !
 

Affiche Colloque Dupont 2019 final web

Programme provisoire des communications orales

Vendredi 7 juin 2019 à l'Université de Nantes

Introduction

  • Discours d’ouverture
  • Hommage à Pierre Dupont : Frédéric Bioret (Université de Bretagne Occidentale), Sylvie Magnanon (Conservatoire botanique national de Brest), Aurélia Lachaud (Bretagne Vivante)

Session 1 • La cartographie floristique en réseau et la connaissance des aires de répartition

  • L’inventaire systématique de la flore vasculaire en Nouvelle-Aquitaine: Grégory Caze (Conservatoire botanique national Sud-Atlantique) et al.
  • The delimitation of bioregions helps understand historical and ecological drivers of species distribution : Guillaume Papuga (Centre d’écologie fonctionnelle et évolutive, Conservatoire botanique national méditerranéen) et al.
  • Collecte des données d’observations dans le cadre du réseau Tela Botanica : Daniel Matthieu, Laura Mary (Tela Botanica)
  • Un réseau de botanistes pour inventorier et cartographier la flore de l’Ouest de la France – Retour d’expérience et perspectives : Sylvie Magnanon, Julien Geslin (Conservatoire botanique national de Brest)
  • Les territoires phytogéographiques de l’Algérie du Nord : essai de synthèse et révision partielle : Rachid Meddour (Faculté des Sciences Biologiques et des Sciences Agronomiques, Université Mouloud Mammeri)

Session 2 • La phytogéographie et l’identification des enjeux de conservation

  • From mapping to monitoring of vascular plants in Flanders (Belgium) : a citizen science project that started 80 years ago : Wouter Van Landuyt (Institute for Nature and Forest Research)
  • Structuration spatiale de l’endémisme dans le Sud-Est de la France et implications pour la conservation de la diversité végétale : Virgile Noble (Conservatoire botanique national méditerranéen)
  • Nouvel aperçu sur la flore et la végétation des parties sommitales du massif du Mont Aigoual (Gard, Lozère) : Mario Klesczewski (Conservatoire d’espaces naturels du Languedoc-Roussillon) et al.
  • Trame verte et bleue et biodiversité : une vue d’ensemble des outils et méthodes pour caractériser la connectivité paysagère et de son effet sur les communautés végétales :Léa Uroy (UMR CNRS 6553 Ecobio - Université de Rennes, UMR INRA 0980 Bagap - INRA Rennes) et al.

Session 3 • Les enjeux de conservation de la flore et les politiques publiques de la biodiversité

  • De la cartographie de la flore à la liste rouge de la flore vasculaire des Pyrénées, une action transfrontalière dans le cadre de l’Observatoire pyrénéen du changement climatique : Gérard Largier (Conservatoire botanique national des Pyrénées et de Midi-Pyrénées) et al.
  • Un nouveau chapitre de la liste rouge des espèces menacées en France - La flore vasculaire de France métropolitaine : Johan Gourvil (Agence française pour la biodiversité)
  • Les espaces herbacés, entre enjeux floristiques et paysagers : Arnaud Cochard (PNR Loire Anjou Touraine, Agrocampus Ouest, site d’Angers - UMR BAGAP), Hervé Daniel (Agrocampus Ouest, site d’Angers - UMR BAGAP)
  • L’amélioration de la connaissance comme outil d’aide à la décision pour la préservation des espaces naturels sensibles de Loire Atlantique et de Vendée : Olivier Bossu (Conseil départemental de la Vendée), Laurent Riot (Conseil départemental de la Loire-Atlantique)

Samedi 8 juin 2019 sur le terrain

  • La dune de la Tresson, Espace naturel sensible de Vendée
  • Deuxième site en cours de recherche en Loire-Atlantique

     

Inscriptions

  • Dates : les inscriptions pour assister au colloque sont ouvertes du 21 mars au 26 mai 2019.
  • Capacité limitée : attention, le nombre de places est limité à 150 personnes pour la première journée de communications et de 100 personnes pour la deuxième journée (terrain). L’inscription à la première journée est obligatoire pour s’inscrire à la seconde journée.
  • Validation de l'inscription : votre inscription ne sera validée qu'à réception du règlement.
  • Frais : ils incluent la participation aux frais d’organisation du colloque, la prise en charge des repas du 1er jour et 2ème jour. Tarif plein : 30 € les deux jours ou 15 € par jour. Tarif préférentiel pour les étudiants et personnes sans emploi : 20€ les deux jours ou 10 € par jour.

 

Pratique

  • Vendredi et samedi, le rendez-vous est fixé à 8h30 à l'Université de Nantes
  • La sélection et les titres des communications sont encore susceptibles de changer. Le programme présenté ici est provisoire. Le programme complet (avec les posters) et définitif sera diffusé dans une troisième circulaire en avril 2019.

Suivez l'actualité du colloque sur : https://www.facebook.com/events/346837316086249/

 

Contexte

Le 22 janvier 2017, Pierre Dupont (1925-2017) s’éteignait près de Bordeaux, à l’âge de 91 ans. Il fut notamment directeur du laboratoire d’écologie et de phytogéographie de la Faculté des sciences de Nantes pendant plus de 25 ans. La communauté des botanistes reconnaît l’importance de sa contribution scientifique dans le champ de la phytogéographie du domaine atlantique, de la cartographie floristique et de l’écologie végétale. Ses liens étaient forts avec les gestionnaires d’espaces naturels, les collectivités locales et les services de l’état en charge des dossiers environnementaux. Son parcours illustre le trait d’union qui relie travail de recherche, engagement en faveur de la conservation de la nature et expertise pour le compte des pouvoirs publics. La disparition de ce chercheur engagé invite à un temps de bilan.

S’appuyant sur ses thèmes et axes de travail historiques, le Conservatoire botanique national de Brest et Bretagne vivante organisent, en collaboration avec les Conservatoires botaniques nationaux Sud-Atlantique et des Pyrénées et de Midi-Pyrénées, l’Université de Nantes, la Société botanique du Centre-Ouest et l’Université de Bretagne occidentale, un colloque international à sa mémoire.

 

Co-organisateurs

  • Conservatoire botanique national de Brest
  • Bretagne vivante

Comité d'organisation

  • Conservatoire botanique national de Brest
  • Bretagne vivante
  • Université de Nantes
  • Conservatoire botanique national des Pyrénées et Midi-Pyrénées
  • Conservatoire botanique national Sud-Atlantique
  • Société botanique du Centre-Ouest
  • Université de Bretagne occidentale

Partenaires financiers

  • DREAL Pays de la Loire
  • Conseil départemental de Loire-Atlantique
  • Conseil départemental de Vendée
  • Fédération des conservatoires botaniques nationaux
  • Conservatoire botanique national de Brest
  • Bretagne vivante

Contact

Pascal Lacroix - Conservatoire botanique national de Brest
02 40 69 70 55 ou Cette adresse e-mail est protégée contre les robots spammeurs. Vous devez activer le JavaScript pour la visualiser.

C'est une première ! La flore vasculaire de France métropolitaine, qui regroupe les fougères ainsi que les plantes à fleurs, a été évaluée. Cette analyse scientifique inédite repose principalement sur les données des conservatoires botaniques nationaux et émergents. Les résultats viennent d’être publiés dans un nouveau chapitre de la Liste rouge nationale des espèces menacées en France. Ils révèlent que 15% de la flore vasculaire est menacée ou quasi-menacée en métropole.

Un travail collaboratif

La publication Liste rouge des espèces menacées en France - Chapitre de la flore vasculaire menacée de France métropolitaine a été réalisée par :

Chiffres clés

  • 3 ans de travaux
  • 30 millions de données floristiques provenant des 11 conservatoires botaniques nationaux et 1 conservatoire en projet
  • 40 experts
  • 4982 plantes indigènes évaluées

Première menace : la destruction et la dégradation des milieux naturels

L’urbanisation et l’aménagement du territoire font de nombreuses victimes parmi ces espèces :

  • la Spiranthe d’été, une orchidée discrète classée « en danger critique »
  • le Panicaut vivipare, une petite plantes à fleurs bleues, classée « vulnérable », toutes deux présentes en milieux humides
  • en montagne, la Laîche à petites soies, classée « quasi menacée » est affectée par les aménagements tels que les routes, les stations de ski ou les retenues d’eau
  • quant au Séneçon des cours d’eau, il disparaît au fur et à mesure de l’artificialisation des berges et la canalisation des cours d’eau

D'autres éléments représentent également des menaces importantes pour le patrimoine floristique, parmi elles :

  • l’intensification de l’agriculture
  • l’usage excessif d’herbicides
  • le surpâturage (lorsque la densité de bétail est trop élevé, ndlr)
  • la déforestation
  • la surfréquentation
  • la cueillette
  • les pratiques de loisirs comme l’escalade.

63 espèces qui n’existent nulle part ailleurs en voie d’extinction

Senecio helenitis - CBNB (Thomas Bousquet)L’Orchis de la Brenne, la Renoncule de Sylvie ou encore le Sénéçon blanchâtre de Normandie ont la particularité, comme une soixantaine d’autres, d’être des espèces endémiques du territoire métropolitain, c’est-à-dire qu’elles n’existent nulle part ailleurs. Elles sont aujourd’hui « en danger critique ». Leur présence exclusive en métropole confère à la France une très forte responsabilité vis-à-vis de ces espèces.

La Violette de Cry, également endémique, est quant à elle désormais éteinte.

Une nécessaire prise de conscience et évolution profonde des pratiques de la société

De nombreuses actions sont mises en œuvre en France pour préserver les espèces de la flore : plans nationaux d’actions pour le Saxifrage œil-de-bouc ou encore le Panicaut vivipare mesures de gestion et de protection spécifiques des sites naturels abritant des plantes menacées développement de banques de semences mise en culture de plants pour assurer la conservation ex situ des espèces les plus menacées…

La poursuite et le renforcement de ces actions conjugués à une prise de conscience et une évolution profonde des pratiques de la société s’avèrent aujourd’hui indispensables pour préserver le patrimoine floristique exceptionnel de l’Hexagone.

A propos des Conservatoires botaniques nationaux

Parmi les nombreux acteurs qui se mobilisent sur le terrain pour renforcer les connaissances et préserver les espèces de la flore, les Conservatoires botaniques nationaux (CBN) sont en première ligne.

Agréés par le ministère de la Transition écologique et solidaire, ils exercent des missions de connaissance, conservation, conseil auprès des pouvoirs publics, sensibilisation du public au service de la flore sauvage, de la végétation et des habitats naturels.

Dix CBN se partagent la métropole et un CBN assure ces services pour La Réunion, Mayotte et les îles Eparses. Chaque CBN exerce ses missions sur son territoire d’agrément.

Au total, c’est près de 457 000 km2 du territoire national qui bénéficie de l’action d’un CBN. Depuis 2017, l’Agence française pour la biodiversité assure la coordination technique des Conservatoires botaniques nationaux.

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Le Conservatoire botanique national de Brest organisait les 23 et 24 novembre 2018 à la faculté des sciences de Brest un stage d'initiation et d'approfondissement à l'identification des lichens du Massif armoricain. Proposé dans le cadre du programme CoLiBry, il était ouvert à tous, débutants comme spécialistes.

2 jours dans la peau d'un lichénologue…

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Le stage animé par Joël Esnault, Jean-Yves Monnat et Rémy Ragot, trois lichénologues experts, a réuni près d'une vingtaine de stagiaires motivés, venant de tout le Massif armoricain, et même au-delà ! Au programme, 2 jours complets en salle avec loupes binoculaires et microscopes à disposition ; l'occasion pour les débutants de s'initier à l'observation des différentes parties d'un lichen et au vocabulaire spécifique associé. Les moins débutants ont pu faire confirmer leurs déterminations d'échantillons ou s'améliorer dans la préparation de coupes au microscope. Le tout dans un esprit de partage et de bonne humeur !

Sur les branchettes et les cailloux récoltés en amont pour l'occasion, de nombreux lichens ont été identifiés durant ces 2 jours ; par exemple Xanthoparmelia pulla ou Bilimbia sabuletorum pour lequel seule l'observation des spores permet de confirmer l'identification !
 

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Zoom sur Teloschistes chrysophtalmus • Son nom français ? Le Lichen aux yeux d'or ! Il forme un petit buisson ; on parle alors de lichen "fruticuleux". Il vit sur des arbustes éloignés de la circulation, sur le littoral par exemple ou à la cime des arbres, en raison de sa faible tolérance à la pollution. Cela le rend difficile à observer, bien qu'il soit plutôt commun. Vous pourrez peut-être l'observer sur des morceaux de branches tombés par terre avec le vent ! Pour connaître sa répartition : http://www.cbnbrest.fr/ecolibry/

Mais qu'est-ce qu'un lichen ?

Le lichen est une symbiose entre un champignon (de l'embranchement des ascomycètes le plus souvent) et une algue (ou dans certains cas une cyanobactérie). L'association algue-champignon permet à ces organismes de réaliser la photosynthèse et de se développer sur des substrats peu colonisés d'ordinaire : rochers de l'estran, écorce des arbres, vieux murets… Leur décomposition offre ensuite un terrain propice au développement d'un sol rudimentaire, où mousses et petites plantes à fleurs et fougères pourront alors pousser.

Quel est l'état des connaissances ?

Données "lichens" par commune dans l'Ouest de la France

Le nombre d'experts en France dans ce domaine est limité, d'où la méconnaissance sur la répartition précise des lichens. D'après la base de données du Conservatoire botanique national de Brest, plus de trois quarts des communes du Massif armoricain ne dispose d'aucune donnée "lichen" ! Afin d'y remédier, le Conservatoire a lancé CoLiBry (connaissance des charophytes, lichens et bryophytes), un grand programme d'inventaire pour développer le réseau des lichénologues du Massif armoricain : formations, sorties lichénologiques, application web…

Ce stage à Brest faisait suite à un premier stage en 2016 à la station biologique de Paimpont (Ille-et-Vilaine). Vu le succès à chaque fois, un troisième stage pourrait être réitéré dans les années à venir. Restez à l'affût !

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La carte des grands types de végétation du Finistère a été mise à jour en février 2021.
679 411 hectares ont été cartographiés.

 

         

 

Quelle analyse peut-on faire du territoire ?

L’analyse du Finistère met en évidence la dominance de certains grands types de végétation sur différentes parties du territoire :

  • le nord est dominé par la présence forte de cultures et d'un bocage peu dense de type haies et talus buissonnants,
  • la commune de Plougastel-Daoulas se distingue par la présence d'un important couvert arboré et de multiples prairies et pelouses,
  • à l'est, les monts d'Arrée sont facilement identifiables grâce aux landes sèches et mésophiles ainsi que des tourbières et végétations associées,
  • la végétation de la pointe du Raz met en évidence le décrochement sud-armoricain, entité importante de la géologie du Massif armoricain qui se traduit par un linéaire de prairies et pelouses humides et de forêts sèches et mésophiles,
  • le sud du département est partagé entre cultures agricoles, haies et talus qui donne l'impression d'un maillage bocager plus important, les nombreux vergers sont bien mis en évidence,
  • l'ensemble du département bénéficie d'un important réseau hydrographique ce qui induit la présence de nombreuses zones humides,
  • le département est majoritairement occupé par des milieux artificialisés (plantations, vergers, cultures, parcs et jardins, bâti, routes...).

Chiffres clés

  • 679 411 hectares cartographiés
  • 2 999 km² de cultures
  • 1 094 km² de prairies et pelouses
  • 628 km² de forêts sèches et mésophiles
  • 150 km² de landes tourbières et autres milieux associés
  • 626 km² de végétations naturelles humides

 

Comment visualiser et utiliser la carte ?

En cliquant sur "visualiser la carte du Finistère", vous accédez à la fiche de métadonnées avec le visualiseur et la notice détaillant la méthode, les résultats, les fiches descriptives de chaque grand type de végétation. Vous trouvez aussi des précisions sur le contenu de la couche géographique, les sources, les modalités d'utilisation et de citation de la carte.

  • La notice est indispensable à lire pour mieux comprendre la méthode et les données géographiques mobilisées sur le département et découvrir des analyses statistiques.
  • La légende est accessible dans les pictos de droite à partir de la fonctionnalité "Couches". Il faut ensuite sélectionner l'écrou "Informations sur la couche".

 

Comment télécharger la carte ?

  • La carte est seulement visualisable.
  • Si vous êtes un professionnel de l'environnement et de la géomatique, remplissez le formulaire pour obtenir les couches et les intégrer à vos logiciels SIG.

 

Ressources en lien avec la carte

Articles associés

Contact

Programme "Cartographie des grands types de végétation de Bretagne"
Conservatoire botanique national de Brest
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Logos partenaires CGTV bzh

 

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Du 3 au 7 décembre 2018, le siège du Conservatoire botanique national de Brest déménage. Sur cette période, l'équipe basée à Brest ne sera pas disponible et vous ne pourrez pas accéder aux outils web. Merci pour votre compréhension !

Quelles conséquences pour vous ?

  • Les liaisons téléphoniques et internet seront coupées.
  • Le site internet et les applications web ne seront pas accessibles (eCalluna, Catalogue documentaire, Carnet de terrain, Catalogue de données...).
  • Seules les liaisons de téléphonie mobile seront maintenues sur cette période.

Ce qui ne change pas

  • Même si pendant 2 ans, l'équipe de Brest est abritée à la Direction des espaces verts de Brest métropole (11 boulevard Gabriel Lippmann, 29 490 Guipavas), l'adresse postale pour écrire au siège du Conservatoire reste inchangée : 52 allée du Bot - 29 200 Brest.
  • Les équipes de Nantes et Villers-Bocage restent joignables par téléphone fixe durant cette période.

Pourquoi ce déménagement ?

L'équipe, implantée à Brest, déménage pour laisser la place au chantier de reconstruction et de modernisation des locaux. Le siège va connaître une profonde mutation afin de l'adapter aux nécessités techniques du temps et aux effectifs de l'établissement. La nouvelle structure, en lieu et place des bâtiments actuels, sera fonctionnelle, sécurisée, accessible et respectueuse de l'environnement.

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Le projet de futur siège du Conservatoire botanique national de Brest